Question orale sur l’aide aux Sévrien-nes les plus démuni-es après la COVID
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Question d’Anne-Marie de Longevialle – conseil du 9 juillet 2020

Monsieur le Maire, cher.e.s collègues

Lors de la période du confinement ma collègue Catherine Candelier et moi-même vous avions alerté sur les difficultés financières rencontrées par les familles privées de restauration scolaire. En effet, un repas du midi fait à la maison coute plus cher que le tarif appliqué aux familles notamment pour les plus modestes.


Dans le même temps, les commerçants de Sèvres ont souffert de la crise de ces derniers mois, certains étaient fermés, d’autres exerçant dans des conditions difficiles.

Face à ce constat qu’a prévu la ville d’une part pour aider les familles, d’autre part pour inciter les familles à fréquenter les commerces sévriens ?

De nombreuses villes font face à aux mêmes situations.  Plusieurs communes ont mis en place des bons d’achat en soutien aux commerces en difficulté. Plusieurs solutions sont possibles.
A Coulommiers ville de taille moyenne, je ne parle pas de Paris ou Lille,  et dont le maire  vient d’être renommé ministre du gouvernement Castex, une action a été mise en place. La ville a distribué des bons d’achat selon la situation de la famille et le quotient familial. Pas besoin de passer par le CCAS , les familles n’ont aucune démarche à faire, les bons d’achat sont envoyés aux famillex, ces bons d’achat sont valables auprès des commerces partenaires, commerce de bouche mais aussi coiffeurs, commerce de mode et de décoration, librairie ou pharmacie.
Une action de ce type ou du même esprit pourrait-elle être mise en place pour la rentrée car hélas les problèmes financiers des familles et des commerçants n’auront pas disparu après les vacances. Cela donnerait un coup de pouce à la fois aux familles et à la fois aux commerçants.

 Je vous remercie pour votre réponse. »

Réponse : l’aide aux familles s’est faite par des aides spécifiques portées par le CCAS et pour la réouverture des écoles donc la possibilité pour à nouveau d’avoir des repas de cantines et il y a eu l’action des bénévoles. Et ensuite, la première adjointe énumère  des actions du type permettre aux commerçants du marché de faire du cliquer emporter, aux commerçants d’avoir une plateforme  numérique, a mis à jour les ouvertures sur le site de a la ville, a donné des masques, est intervenue sur les baux commerciaux L’exemple donné par ma question, n’est qu’un exemple mais la réponse de la ville montre qu’on ne se place que dans la période de la covid. On ne regarde pas le futur pour dynamiser le tissu commercial en permettant à un public familial de découvrir les commerces de proximité. Enfin si l’assistance en cas d’urgence est nécessaire, avoir un droit sans avoir à le réclamer et être stigmatisé serait plus que normal.