Question sur la fermeture de l’accès gare Rive-Gauche
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Question orale d’Anne-Marie de Longevialle, conseil du 26 septembre 2024

Monsieur le Maire, cher collègue

Depuis plus de 6 mois l’accès à la gare Sèvres Rive Gauche est fermé, un arrêté municipal interdit la circulation piétonne sur la rue Henri Duveyrier et entre le numéro 4 de la rue Ernest Renan et le passage sous la voie SNCF.

Nous avons en effet constaté les dégradations importantes sur le mur de soutènement notamment à proximité du passage piéton.  Le mur est soutenu sur toute sa hauteur sur plusieurs mètres. Pour le moment on soutient mais on ne répare pas semble-t-il.

Sur le site de la ville, il est précisé que l’interdiction devait être maintenue tant que le soutènement du mur par des étais n’aurait pas été fait. Ce soutènement a été réalisé mais l’interdiction perdure, je suppose pour des raisons de sécurité.  Les piétons sont contraintes de faire un détour depuis plusieurs mois et ne savent pas jusqu’à quand.

Pourriez vous nous préciser si vous disposez d’un calendrier et si oui lequel pour la réouverture de ce passage fréquenté à la fois par les usagers du train mais aussi par des personnes souhaitant descendre dans le centre -ville.

De l’autre côté de la ville, rue de la Monesse, on constate aussi des dégradations, des glissements à partir du trottoir le long de la ligne SNCF. Il avait été évoqué des travaux mais qui n’avaient pas été jugés urgents par la SNCF, il avait été mentionné 2024 /2025 comme date cible, on y est. Nous confirmez- vous que ces travaux sont toujours programmés, qu’il n’y a pas d’urgence à ce qu’ils soient rapidement réalisés.

Je vous remercie pour votre réponse.

Réponse : le mur suite à une expertise a été jugé dangereux,  d’où interdiction de circulation et mesures d’urgence de mise en sécurité pour mettre fin aux dangers ; ce sont des mesures réparatoires mais cela ne suffit pas. La Ville est intervenue auprès de la SNCF, elle dit que cela ne lui appartient pas alors qu’elle entretient le mur depuis 30 ans. GPSO est aussi intervenu, on rentre dans des batailles d’expert, pas prêt d’avoir une solution. A la Monesse, idem. On est sur des négociations permanentes.